Le parfum des grandes vacances

Je me souviens de sa cabane qui flottait dans les champs comme un phare sur l'océan des feuilles du vieux frêne scintillant au soleil, de l'odeur du linge qui séchait au fond du jardin, du bourdonnement des abeilles et du chant des mésanges. \nPépé Léon faisait partie de ces gens qui aimeraient que rien ne change jamais. Qui ne veulent pas refaire le monde, juste vivre au milieu et l'écouter respirer. \nJe m'appelle Louise et ceci est mon histoire.