Discours de la servitude intellectuelle - De la soumission intellectuelle au déni de tyrannie
Editions ALCHIMISTE
Format BrochéAuteur : Alexis Haupt
Format BrochéAuteur : Alexis Haupt
18,08 €
TTC
Livraison sous 15 jours
Notes et avis clients
personne n'a encore posté d'avis
sur cet article
Description
«Intégré dans un groupe à l'idéologie commune et prenant aveuglément pour argent comptant le récit de l'autorité, l'individu soumis intellectuellement délègue son esprit critique à ladite autorité. Il n'existe plus en tant que sujet pensant, mais en tant que cellule d'un corps qui le dépasse. Il ne pense plus, ne doute plus, n'ose plus savoir, il est emporté par une force supérieure, il suit le mouvement du corps. Ce transfert d'identité intellectuelle à l'autorité le rassure. D'abord parce qu'il se sent appartenir à un groupe, ensuite parce qu'il se met dans le camp de l'autorité, et enfin parce qu'il ne se sent pas responsable de la mauvaise gestion de l'autorité : il n'est qu'un rouage bien huilé au sein de la machine.»
Alexis Haupt est né en 1990. À l'âge de vingt ans, il écrit ses premiers essais de philosophie. Depuis cette date, il écrit quotidiennement sur diverses thématiques. Il est présent sur les réseaux sociaux depuis la crise sanitaire et y est surtout connu pour ses prises de position concernant la « crise démocratique ». Ses propres méditations l'ont conduit à avoir une grille de lecture personnelle du monde, laquelle prône avant tout un éveil de la conscience des Hommes, c'est-à-dire du « moi-pensant », et, ce dès l'enfance.
Alexis Haupt est né en 1990. À l'âge de vingt ans, il écrit ses premiers essais de philosophie. Depuis cette date, il écrit quotidiennement sur diverses thématiques. Il est présent sur les réseaux sociaux depuis la crise sanitaire et y est surtout connu pour ses prises de position concernant la « crise démocratique ». Ses propres méditations l'ont conduit à avoir une grille de lecture personnelle du monde, laquelle prône avant tout un éveil de la conscience des Hommes, c'est-à-dire du « moi-pensant », et, ce dès l'enfance.