En attendant Ulysse - Esperando a Ulises
Editions L'HARMATTAN
Format BrochéAuteur : María Elena Blanco
Format BrochéAuteur : María Elena Blanco
21,84 €
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sur cet article
Description
Selon le poète chilien Raúl Zurita, la poésie de María Elena Blanco «se situe bien au-dessus de la pluralité des tendances qui, du baroque de Lezama à lanti-poésie de Nicanor Parra, ont prédominé dans la poésie en espagnol au cours des dernières décennies [], tout en les réinventant dans un agencement textuel où les échos, les résonances internes, les contrepoints atteignent une virtuosité qui touche à la maîtrise, sans jamais tomber dans le vice de labstraction».
Pour sa part, Manuel Vázquez Portal, poète et critique cubain, met en relief son «évocation dune Ithaque où elle na ni attendu ni tissé, mais dont elle sest échappée pour inventer sa propre odyssée». Mabel Cuesta, poète et professeure cubaine, souligne aussi cette vocation du voyage qui, «en même temps quelle se rattache à la tradition littéraire la plus ancienne, elle se prête ici à la tentative ontologique de reconstruire lêtre dispersé et toujours nostalgique de lEden perdu», une démarche que la critique et professeure cubaine Ana María Hernández qualifie de «voyage initiatique».
Et William Navarrete, poète et romancier cubain résidant à Paris, conclut que «de tout ce cosmopolitisme, qui a été aussi sa propre vie et sa richesse, Blanco sort renforcée. Son vers devient une symphonie multiple et sa voix résonne dans nos propres souvenirs et lectures. La lire, cest découvrir derrière chaque strophe une histoire savante, un voyage incessant entre le passé et le présent, un geste de modestie et, surtout, dune très sobre élégance».
Pour sa part, Manuel Vázquez Portal, poète et critique cubain, met en relief son «évocation dune Ithaque où elle na ni attendu ni tissé, mais dont elle sest échappée pour inventer sa propre odyssée». Mabel Cuesta, poète et professeure cubaine, souligne aussi cette vocation du voyage qui, «en même temps quelle se rattache à la tradition littéraire la plus ancienne, elle se prête ici à la tentative ontologique de reconstruire lêtre dispersé et toujours nostalgique de lEden perdu», une démarche que la critique et professeure cubaine Ana María Hernández qualifie de «voyage initiatique».
Et William Navarrete, poète et romancier cubain résidant à Paris, conclut que «de tout ce cosmopolitisme, qui a été aussi sa propre vie et sa richesse, Blanco sort renforcée. Son vers devient une symphonie multiple et sa voix résonne dans nos propres souvenirs et lectures. La lire, cest découvrir derrière chaque strophe une histoire savante, un voyage incessant entre le passé et le présent, un geste de modestie et, surtout, dune très sobre élégance».