Pouvoirs et sociétés rurales : France et ses colonies 1634-1814 - Capes Histoire-Géographie
Pouvoirs et sociétés rurales : France et ses colonies 1634-1814 - Capes Histoire-Géographie
Michel Figeac
368 pages
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32,20 €
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Description
Les sociétés rurales forment le socle démographique et économique de la France d’Ancien Régime. La question est donc très classique mais son originalité tient à l’amplitude chronologique qui enjambe la période révolutionnaire ainsi qu’à la prise en compte des espaces coloniaux.
Ainsi, seront envisagées les permanences et les mutations de ces sociétés rurales face aux formes de pouvoirs qui s’y appliquent et s’y déploient à différentes échelles. Le pouvoir royal par le biais de ses représentants, qu’il s’agisse des intendants, des subdélégués, des hommes du fisc ou des forces de l’ordre public, représente aussi bien une force qui s’exerce qu’une protection des populations. Les espaces ruraux, pour leur force productive, voient aussi se déployer des formes économiques de pouvoirs, qu’il s’agisse des bourgeois urbains, de la noblesse terrienne, des colons. Ils sont également marqués par une forte empreinte religieuse, qui s’inscrit dans le paysage autant que dans les consciences et la structuration des sociétés.
Les sociétés rurales seront ainsi interrogées dans leur complexité, depuis les échelles paroissiale et communautaire jusqu’au niveau des familles et des feux. Les relations de pouvoir entre ordres, groupes sociaux, seigneurs et paysans, sujets et souverain, colons et esclavagisés seront envisagées sur le temps long pour saisir les recompositions dont elles font l’objet pendant les longs XVIIe et XVIIIe siècles, mais aussi à la faveur de la Révolution et jusqu’à l’Empire.
Ainsi, seront envisagées les permanences et les mutations de ces sociétés rurales face aux formes de pouvoirs qui s’y appliquent et s’y déploient à différentes échelles. Le pouvoir royal par le biais de ses représentants, qu’il s’agisse des intendants, des subdélégués, des hommes du fisc ou des forces de l’ordre public, représente aussi bien une force qui s’exerce qu’une protection des populations. Les espaces ruraux, pour leur force productive, voient aussi se déployer des formes économiques de pouvoirs, qu’il s’agisse des bourgeois urbains, de la noblesse terrienne, des colons. Ils sont également marqués par une forte empreinte religieuse, qui s’inscrit dans le paysage autant que dans les consciences et la structuration des sociétés.
Les sociétés rurales seront ainsi interrogées dans leur complexité, depuis les échelles paroissiale et communautaire jusqu’au niveau des familles et des feux. Les relations de pouvoir entre ordres, groupes sociaux, seigneurs et paysans, sujets et souverain, colons et esclavagisés seront envisagées sur le temps long pour saisir les recompositions dont elles font l’objet pendant les longs XVIIe et XVIIIe siècles, mais aussi à la faveur de la Révolution et jusqu’à l’Empire.