Le bal des illusions
Le bal des illusions
François Alançon
240 pages
François Alançon
240 pages
25,30 €
TTC
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Description
« Le déclin est un sport national français. L’Hexagone souffre de son déclassement, de l’impression d’un délitement de sa puissance dans le monde. C’est une réalité de tous les jours pour qui scrute son rayonnement, son action diplomatique ou la conduite de ses opérations militaires extérieures- comme en témoigne le fiasco du contrat avec l’Australie sur les sous-marins ou la débâcle récente au Sahel.
Hôte des Jeux Olympiques d’été 2024, avec les projecteurs du monde entier braqués sur lui, le pays de Richelieu, Louis XIV, Napoléon, Talleyrand, Clemenceau, de Gaulle, Mitterrand n’est pas pour autant condamné à perdre sa puissance et son aura.
Alors comment va vraiment la France ? Nous avons posé cette question à Washington, Singapour, Bruxelles, Genève, Berlin, Varsovie, Bangui, Rabat, Athènes, New Delhi, Sao Paulo… Partout, nos interlocuteurs l’ont confirmé: celle-ci a encore un rôle à jouer sur la scène internationale. Sa stature est enviée, sa parole attendue, à condition qu’elle ouvre les yeux sur elle-même et sur le monde.
«Regarder la France comme si on n’en était pas» écrivait Charles Péguy. Tel a été notre fil rouge. Nous avons enquêté, en donnant en priorité la parole à ceux qui l’observent depuis l’étranger. Leur regard démontre que le décalage entre les perceptions françaises et les réalités internationales n’a peut-être jamais été aussi grand. Alors, à quand l’indispensable sursaut ? Et si l’orchestre cessait de jouer, à Paris, le bal aux illusions ? »
Hôte des Jeux Olympiques d’été 2024, avec les projecteurs du monde entier braqués sur lui, le pays de Richelieu, Louis XIV, Napoléon, Talleyrand, Clemenceau, de Gaulle, Mitterrand n’est pas pour autant condamné à perdre sa puissance et son aura.
Alors comment va vraiment la France ? Nous avons posé cette question à Washington, Singapour, Bruxelles, Genève, Berlin, Varsovie, Bangui, Rabat, Athènes, New Delhi, Sao Paulo… Partout, nos interlocuteurs l’ont confirmé: celle-ci a encore un rôle à jouer sur la scène internationale. Sa stature est enviée, sa parole attendue, à condition qu’elle ouvre les yeux sur elle-même et sur le monde.
«Regarder la France comme si on n’en était pas» écrivait Charles Péguy. Tel a été notre fil rouge. Nous avons enquêté, en donnant en priorité la parole à ceux qui l’observent depuis l’étranger. Leur regard démontre que le décalage entre les perceptions françaises et les réalités internationales n’a peut-être jamais été aussi grand. Alors, à quand l’indispensable sursaut ? Et si l’orchestre cessait de jouer, à Paris, le bal aux illusions ? »
Richard Werly et François D’Alançon