Libre
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Sylvia Beretvas
224 pages
Sylvia Beretvas
224 pages
26,45 €
TTC
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Description
Je dois la vie à un officier de la Wehrmacht homosexuel qui en 1942 aida mon père et quatre autres jeunes juifs à échapper à la mort pendant l’occupation allemande en Tunisie.
À l’arrivée des Alliés, il trouve refuge chez mes grands-parents qui l’adoptent comme leur fils. Un présent offert par ma grand-mère le sauvera à son tour.
Qu’est-ce qui fait un héros ? Ce projet d’écriture, mûri de longue date, est un hommage à mon « oncle » allemand, Richard Abel, « Juste parmi les nations », qui vécut caché dans ma famille à Tunis avant d’être prisonnier à son tour, au Maroc, aux États-Unis, puis en Angleterre.
C’est une histoire peu banale de « Banalité du Bien », une aventure pleine de péripéties et de rebondissements, tissée des mémoires de ses protagonistes.
C’est à Richard que je fis la promesse d’écrire sa vie il y a plus de dix ans déjà, mais, par la magie de l’écriture, c’est aussi la vraie figure de mon père qui se révèle.
Une génération plus tard, ce « Mensch » allemand, humain très humain, homme ordinaire mais très singulier, m’offre en héritage un peu de son audace, et je prends la liberté d’écrire.
À l’arrivée des Alliés, il trouve refuge chez mes grands-parents qui l’adoptent comme leur fils. Un présent offert par ma grand-mère le sauvera à son tour.
Qu’est-ce qui fait un héros ? Ce projet d’écriture, mûri de longue date, est un hommage à mon « oncle » allemand, Richard Abel, « Juste parmi les nations », qui vécut caché dans ma famille à Tunis avant d’être prisonnier à son tour, au Maroc, aux États-Unis, puis en Angleterre.
C’est une histoire peu banale de « Banalité du Bien », une aventure pleine de péripéties et de rebondissements, tissée des mémoires de ses protagonistes.
C’est à Richard que je fis la promesse d’écrire sa vie il y a plus de dix ans déjà, mais, par la magie de l’écriture, c’est aussi la vraie figure de mon père qui se révèle.
Une génération plus tard, ce « Mensch » allemand, humain très humain, homme ordinaire mais très singulier, m’offre en héritage un peu de son audace, et je prends la liberté d’écrire.